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Après une semaine de grosse fatigue, je n'ai pas pu résister à l'appel de cette lumière fantastique et de ce surgissement de l'été en Béarn. Depuis le col de Marie-Blanque, je me risque sur les pentes de l'Escurets, histoire de respirer un peu. Tout me fait du bien, le chant des oiseaux, la douceur des pentes, les premières gentianes printanières, le vol des vautours, l'air doux qui caresse la peau. Il me semble revivre le plus intensément qu'il est possible. Je me hisse tant bien que mal au-dessus du plateau que je domine aisément. Au fond, le Jaüt (à gauche), le Monné, les Gabizos,et le pic de Ger conservent une parure toute hivernale.