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Il faudrait être normopathe pour ne pas se laisser aller à la douceur comme à la beauté indéfinissable de ces lieux enchanteurs. Le printemps s'empare peu à peu des pentes montagnardes, les fleurs rient dans les estives, les oiseaux clament l'ivresse d'un temps fait pour la danse et le murmure, les papillons papillonnent à qui mieux mieux et moi je sieste nonchalant face au plus beau spectacle du monde. La grive musicienne viendra peut-être se poser sur mes genoux...
De gauche à droite : pic de Burcq, de Lariste, de Laraille, Chourique, Ansabère, Lhurs, Trois rois, Billare, Anie.
Image dédiée à mes amis infoclimatistes du Septentrion (Max et Monique).