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Il est toujours impressionnant (tout autant qu'intéressant, et vice versa) de constater à quel point l'effet réfrigérant de la vallée de l'Helpe Majeure fonctionne à plein dès que le vent se calme. Ce qui arrive plus souvent qu'on ne pourrait croire dans notre petit coin de NPDC, sans doute le moins soumis de toute la région aux influences océaniques. Il faut dire que nos affinités (climatiques et autres) sont ici plutôt ardennaises, en leur version thiérachienne (i.e. l'extrémité occidentale dudit massif ardennais) pour être tout à fait précis. Certains faits d'Histoire et d'arbitraires logiques administratives en ont décidé autrement, mais il ne s'agit là que de la surface des choses...
Quoi qu'il en soit, il est très fréquent de perdre pas loin de 5° -estimation pifométrique- par rapport au sommet de la colline avesnoise, ceci en à peine 30 mètres de dénivellation. Le lac d'air froid (et souvent de brume) n'a donc fréquemment qu'une épaisseur maximale de 10 ou 20 mètres environ. Et, en ce qui concerne ce matin afin de recentrer le débat, il aura été observé une mini nocturne d'environ 2°-3° sur le haut de la colline avesnoise, sans la moindre trace de givre. En conséquence de quoi les blanches manifestations furent globalement moins impressionnantes que celles de la veille.
The Magnificent Seven (TC inside) ?
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Bonne journée à toutes et à tous!