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Vers l'est, par delà les coteaux du jurançonnais qui attendent la vendange, le ciel est bien plus couvert, le foehn étant moins sensible du fait d'un relief moins redressé. Cela dit, le pic d'Anie (à 44 km de ma position, premier sommet à atteindre les 2500 m en venant de l'Atlantique) en impose par son caractère massif. Il brille d'autant plus que les neiges récentes n'ont pas encore fondu. A sa gauche, le Pic et la Table des 3 rois constituent aussi de merveilleux belvédères sur la totalité des Pyrénées occidentales.