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Coup de vent au réveil. Des volets qui s'ouvrent, je crois à un coup de tonnerre. Mais non, après un premier regard par la fenêtre je pressens que les couleurs rougeâtre vont s'en donner à c½ur joie. Sortir, pas sortir, faut s'habiller, remplir ce papier, je décide de rester. Je regrette car quelque minutes après le théâtre des altos cumulus commence leur danse de feu. Les étourneaux , dérangés par le vent ferons des taches noirs sur les photos. Difficile de choisir l'un des nombreux clichés. Ce sera celle-ci, car la partie supérieur montre que derrière la première couche de stratus qui se désagrège, des flammes s'effilochent.
Au moment où j'écris ces lignes, un passage d'Oies Bernache déchire le silence qui règne encore ce matin sur Rambouillet. La vivante vie restera toujours hors des murs.
Pour faire suite au feuilleton de la circulation des pressions, c'est encore l'Italie qui va gagner avec un petit creusement pour le 16 novembre.
Cette tentative des dépressions atlantique aura une fois de plus échouée une entrée à plus long terme sur le continent européen.