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Au tout début de l'apparition de l'Amiral le mince voile vaporeux tapissant de façon très localisée le fond de la vallée (et plus précisément les berges de l'Helpe Majeure, il faut bien l'admettre) se révèle dans toute sa fragile ténuité, pour ainsi dire. Ses serpents ziguent et zaguent au gré de leur fantaisie... Il est amusant de constater que l'effet esthétique produit est plus intéressant que celui de la veille malgré une moindre force de la magie brumescente. Du moins est-ce là mon opinion, et elle a cet avantage de me permettre de me délecter de cet apparent paradoxe :)
Ne manquent que quelques canards pour bien faire, l'ambiance sonore étant tout de même dominée par le joyeux pépiement de la gent aviaire émoustillée par ce joli début de printemps calendaire.
Song of the Sibyl (DCD inside) ?
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Bonne journée à toutes et à tous!