Match nul à l’horizon météorologique. Avec un déblayage du ciel assuré par les hautes pressions qui agissent tel un rideau défensif, elles obligent la tempête Agnès à contourner les stades des 7 villes hôtes des prochaines rencontres.
Ce jeudi, la ville rose basculera au rouge avec une maximale largement au-dessus de la mêlée d’un automne classique. 32 au thermomètre et des degrés supplémentaires sous les maillots.
Pour vendredi, on ne change pas une équipe qui gagne. Soleil et chaleur toujours en lice. 30° dans les tribunes et un ressenti sur la pelouse bien plus torride. Le haka des All Blacks va effrayer le moindre cumulus qui tenterait une percée dans le ciel lyonnais.
Samedi 30 septembre, le stade de Lille jouera bande à part avec des éclaircies et une relative chaleur. Pas plus de 20° dans la journée. Les vestiaires roumains risquent de se faire rincer jusque tard dans la soirée alors qu’une douche écossaise n’est pas à exclure au coup de sifflet final. Sur la côte Atlantique par contre, le soleil va largement occuper le terrain de Bordeaux à Nantes. Entre 24 et 28° pour les maximales.
Dimanche 1er octobre, on va frôler la barre des 30° sur Marseille comme à Saint-Etienne. Dans le chaudron, il faut s’attendre à ce que les Wallabies dégagent de la pelouse sur un méchant coup de vent. Celui qu’on appelle au Portugal le nortada. A 330 km plus au sud, le coup de mistral n’est pas attendu. La Bonne Mère veille à maintenir un climat serein, une atmosphère de fête, un souffle sportif au stade Vélodrome.
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